Les aventures sexuelles d'une stagiaire sadomasochiste
Véronique est une fille très étrange : depuis longtemps elle rêve d'avoir un maître, un vrai, qui lui ferait subir plein d'humiliations sexuelles. En stage au siège d'une compagnie parisienne, elle se laisse aller à quelques confidences en rédigeant un rapport sur son ordinateur, et oublie de les effacer. Ce qui est très imprudent quand on a un chef de service, Charles, lui-même porté sur la domination. Charles va proposer à Véronique de lui faire vivre les fantasmes qu'elle cultive en secret. Après avoir hésité, elle accepte et elle ne le regrettera pas...
Un jeune homme fantasme sur les MILF, et voit soudain ses désirs exaucés !
Greg est irrésistiblement attiré par les formes opulentes des femmes en âge d'être sa mère. C'est ainsi qu'il fantasme comme un malade sur sa prof de français. Les copines de son âge ne le laissent pas indifférent, il " s'amuse " volontiers avec; mais, comment dire, elles n'ont pas ce qu'il recherche dans une femme. Cette maturité, cette plénitude charnelle qu'elles n'acquièrent qu'autour de la quarantaine. Eh bien, voyez comme le hasard fait bien les choses, une voisine, Aline, qui pourrait être sa mère, renifle en lui ce désir inavoué. A-t-elle surpris certains regards sur sa chute de rein ou sa poitrine bien en chair? Toujours est-il qu'après l'avoir attiré chez elle sous un prétexte, elle entreprend de faire son éducation sexuelle, d'une façon très poussée. Ne laissant aucun chapitre du corps de la femme inexploré. Là-dessus, le père de Greg, divorce, et le voici nanti d'une "deuxième mère" qui n'a que la trentaine... Puis c'est la prof de français qui se décide à son tour. Comme on dit, notre ami n'est pas sorti de l'auberge... Et ce n'est pas "L'Auberge de l'Ange gardien". Nenni, amis, nous ne sommes pas ici chez la bonne Comtesse...
Lorsqu'il commence à travailler comme vigile, dans une galerie commerciale spécialisée dans les sous-vêtements féminins, le jeune Nicolas est loin de se douter de ce qui l'attend. La première vendeuse, Zora, succulente quadragénaire qui aime bien la chair fraîche, a vite fait de lui apprendre qu'un homme n'a jamais le dernier mot avec une dame qui n'a pas froid aux fesses. Les perverses petites voleuses de culottes achèvent son éducation en l'entraînant dans un piège où toute une bande de garces lubriques lui démontrent sadiquement que le malheur des uns fait le plaisir des autres. Faut-il s'étonner qu'il soit devenu ce qu'il est ? Un pervers désireux de se venger à loisir sur toutes les femelles que le hasard fera tomber en son pouvoir ?
Le narrateur, masochiste pur et dur, n'avait connu que des aventures décevantes. Les "dominatrices" qu'on recontre en répondant aux petites annonces, ou grâce à Internet, ne sont, pour la plupart, que des commerçantes dépourvues d'imagination qui ne pensent qu'à l'argent. Mais voilà que Denis tombe un jour sur l'oiseau rare, ou (un malheur ne vient jamais seul) sur "deux oiseux rares". Armande et Swana, elles, font ça pour leur plaisir. Elles vont exiger de lui une soumission et une transformation radicales. Il commencera par être leur "boniche", puis deviendra leur "chienne". Chienne soumise aux caprices cruels (mais délicieux) des deux jolis garces qui n'hésitent pas à "la" partager avec d'autres cinglées du même acabit. Châtiments corporels, humiliations, exhibitions... n'empêcheront pas au bout du chemin de croix de Denis que l'amour montre son nez. Et si ce n'était que son nez ! Évidemment, il sera puni pour son audace... Cruellement, délicieusement puni !
Patrick et Anne-Sophie engagent une nouvelle domestique, Marie-Jeanne, une superbe Noire. Très vite, la servante comprend que le couple bat de l'aile et que " le maître de maison " est en fait un " esclave qui s'ignore ". Consciente de l'attrait qu'elle exerce sur lui, elle ne tarde pas à en faire son jouet quand Madame n'est pas à la maison. Les choses iront ainsi jusqu'au point de non-retour : pénétration, mise en place d'un cadenas, collier de chien, Patrick devient le " soumis " de sa bonne. Quand elle l'a bien dressé, Marie- Jeanne emmène son toutou dans le monde pour l'offrir à de riches bourgeoises oisives qui ne demandent qu'à jouer avec un pantin bien docile ! Vous n'avez pas idée du nombre de riches garces qui aiment traiter le sexe fort à la dure ! Mais du moment qu'il aime ça, de quoi se plaindrait-il ?
Laurent est marié avec la sage Sabine, qui part tôt au boulot chaque matin. Et voilà que vient habiter avec eux la soeur aînée de Sabine, Christine, qui, elle, ne travaille pas, et qui est loin d'être sage. Bientôt, Laurent, très déprimé, cesse de travailler et prend des somnifères qui le font dormir tard dans la matinée. Ne me dites pas que la délurée Christine va en profiter pour venir squatter le lit conjugal en l'absence de sa petite soeur pour lui remonter le moral ! Et qu'elle va même y inviter des copains et des copines ! Devinez pour quoi faire ? Ce texte nous a été envoyé par la poste ; l'auteur prétend qu'il s'agit d'une histoire vraie. Et il entend conserver son anonymat. On le comprend, non ?
Chargé d'une enquête dans le milieu SM parisien, l'auteur n'hésite pas à payer de sa personne. Dès sa rencontre avec " Maîtresse Brigitte ", il se soumet à une expérience de domination. Après son initiation, il " maltraite " avec plaisir une chef de bureau nymphomane qui se sent coupable de harceler ses jeunes subordonnés. Mis en appétit par ces deux expériences, notre enquêteur effectue une plongée dans le monde insolite des perversions sexuelles et recueille les confessions de plusieurs " désaxés " des deux sexes, dont il nous décrit minutieusement les pratiques " scandaleuses ". Si vous êtes pour la sexualité saine, abstenez-vous de lire ce livre...
Pour fuir quelque peccadille, le narrateur s'est mis au vert dans une ferme vinicole tenue par Judith, une maîtresse femme. Ancien tombeur, il va vite tomber... de son haut. Figurez-vous que Judith et ses filles, Grete et Sonia, sont liées par d'étranges rapports de domination avec Bertille, " la bonne ". Encore une histoire de lesbiennes ? Pas vraiment. Et quand même un peu. Supposons que Bertille, la soumise, soit une sorte d'appât. Et que, tout d'abord spectateur des saynètes qu'on lui joue, le narrateur ne tarde pas à se trouver lui-même " en scène ". Mais pas du tout comme il l'aurait souhaité en tant que " dominateur ", pour partager avec Judith et ses perverses progénitures le mets succulent qu'est Bertille. Envouté, c'est lui qui va entrer dans la peau d'un soumis, pour la plus grande satisfaction de cette tribu de femelles hystériques.
En mentant sur sa situation, Fabrice, un écrivain sans le sou, a épousé Delphine, une commerciale prospère, plus jeune que lui. Seulement, voilà, quand l'épouse découvre qu'elle a été jouée, elle n'apprécie pas du tout... et se refuse à son mari, à moins qu'il ne consente à subir un " dressage ". Avec sa complice Hélène, une " dominatrice ", elle va faire de lui un jouet dont elles s'amuseront cruellement. Sous leurs cravaches, il va se plier aux pires humiliations qu'une femme puisse infl iger à un homme... et sa vie conjugale va devenir un véritable enfer ! Un enfer, vraiment ? Peut-être bien. Seulement voilà, il ne peut plus s'en passer, de cet enfer ! Un enfer - mais de jouissance ! Et pas question pour lui de céder sa place, même pour un empire. Le bonheur dans l'esclavage, en somme...
Un marginal qui a bourlingué rentre au pays après moult pérégrinations. Dans sa bonne ville d'Arles, il espère trouver un peu de tranquillité. Pour racler un peu de monnaie, il entre comme plongeur à La Truie Meunière un restaurant tenu par Ségolène, femme curieuse, qui aime ses chiens à la passion. Outre ceux-ci, nombre de chiens et de chiennes à deux pattes se livrent aux galipettes les plus lubriques. Parmi eux, Angèle, une libraire, vient souvent s'encanailler. Etrange dame, que cette Angèle : dès qu'elle a un coup dans le nez, elle s'endort... les yeux ouverts. Et semble ne pas s'apercevoir de tout ce que les vicieux lascars de La Truie Meunière lui font subir. D'autres dames concupiscentes viennent égayer le retour au pays du narrateur... Toutes plus tordues les unes que les autres ! Il n'est pas sorti de l'auberge !
Etre fétichiste, c'est avoir une obsession pour un élément que d'autres ne remarqueraient même pas, et être dévoré par une passion maladive pour ce bout de chair ou de tissu... C'est ce qui arrive au narrateur, qui, dans son enfance, éprouve une fascination maladive lorsqu'il voit l'employée de maison de ses parents se déshabiller en toute innocence. Ce qui le trouble le plus pourtant, ce n'est pas qu'elle se mette nue devant lui, mais plutôt qu'elle fasse glisser les fermetures-éclair qui parsèment généreusement ses vêtements. Sa fascination est décuplée lorsqu'elle lui propose, quelques années plus tard, pour des jeux tout sauf innocents, de descendre ces mêmes fermetures-éclair. Dès lors sa vie est une quête éperdue de ce plaisir que personne ne peut vraiment comprendre : descendre une fermeture-éclair ou la remonter, pour dévoiler la chair d'une femme, plaisir volatile par essence, et que seulement de rares partenaires peuvent accepter et comprendre...
Mais voilà qu'un soir, après un dîner très arrosé avec un copain, ils se retrouvent à regarder à trois un film de cul à la télé ! Aurore (c'est son nom) est au milieu... Sans l'avoir vraiment décidé, les mains commencent à s'égarer. Surprise ! Aurore n'est plus tiède du tout ! Elle est même rudement chaude ! D'où l'idée de son ami : et si on renouvelait l'expérience ? Grâce à Internet ? Il suffirait de prendre des photos coquines d'Aurore, de les exhiber sur un site, et d'attendre les " contacts "... qui ne se font pas attendre. Hypocrite, Aurore feint de ne consentir à ses " turpitudes " que pour plaire à son ami. Mais l'appétit vient en mangeant. Et sur Internet, le menu est très riche en viande (ou en chair) ! Qu'attendez-vous pour vous connecter ?
En 1975, criblé de dettes, le narrateur accepte, pour échapper à ses créanciers, un emploi de factotum à la résidence S., lieu de villégiature réservé aux membres de l'armée américaine, et à leurs familles, sur la Moyenne-Corniche. Il va vite se rendre compte que ses démons (les fameux démons de la chair) ne l'ont pas lâché pour autant et devenir la proie consentante d'une clientèle féminine avide de sensations. Citons en vrac une veuve nymphomane, une femme de ménage trop élégante pour être honnête, des Lolitas plus vicieuses l'une que l'autre. Il croyait se mettre au vert et qu'avec des Américains il ne risquait pas grand chose. Avec eux, en fait, il ne risquait rien. Mais avec leurs femmes, c'est une autre affaire : " Elles sont pires que les Françaises, mon vieux ; ce qui n'est pas peu dire ! "
A dix-huit ans, le narrateur est envoyé par son père à Londres, pour y parfaire sa connaissance de la langue anglaise. Pour gagner sa vie, il travaille à mi-temps dans un pub populaire. C'est là que débute son " éducation anglaise ", sous la tutelle de Jenny, la femme du patron, et de quelques clientes un peu fantasques. Parallèlement, le jeune homme fait son éducation mondaine dans les familles huppées de ses condisciples. Il découvre ainsi les dessous du beau monde : moeurs saphiques, sadiques et incestueuses de Mélanie, la soeur de son copain Peter. Mais ce qu'il préfère, c'est la compagnie de ses amis Andy et Gus, deux voyous qui le déniaisent en lui amenant les filles les plus dépravées du quartier. Au fil de son initiation, il rencontrera des bourgeoises mûres et vicieuses. Elles apprécieront à un tel point les " leçons " du charmant Frenchie (qui ne se sert pas de sa langue que pour parler) que son séjour linguistique durera... sept ans !
Voulez-vous savoir ce qui va se passer entre cet étrange " confesseur " et les femmes vicieuses qui " se confessent " à lui ? Achetez-ce livre...
" J'ai poussé la porte. Geneviève a crié en me voyant entrer. Vautrée sur le sofa, elle avait relevé sa robe. Sur le tapis, son slip couleur chair était roulé en boule. Je m'attendais à ce qu'elle se relève hâtivement, mais elle n'a pas changé de position. Tournant la tête pour éviter mon regard, elle m'a demandé d'une voix à peine audible : "Est-ce que vous avez fermé derrière vous ?' "
Voulez-vous savoir ce qui va se passer entre cet étrange " confesseur " et les femmes vicieuses qui " se confessent " à lui ? Achetez-ce livre...
Moniteur de ski, attaché à un hôtel tenu par une femme "très autoritaire", le narrateur nous conte quelques-unes de ses aventures les plus scabreuses dans le cadre faussement virginal d'une station alpine. Les femmes qui viennent aux sports d'hiver ne sont pas attirées seulement par l'ivresse de la vitesse et l'air pur des cimes. Toutes, les jeunes comme les moins jeunes, n'ont qu'une idée en tête... et ce n'est pas le slalom. En compagnie du barman, un italien très mâchiste, notre moniteur s'occupe de sa clientèle de femelles avec une abnégation remarquable.
À seize ans, le narrateur ne connaît encore rien aux femmes. Mais l'occasion va lui être donnée de faire rapidement ses classes, vu qu'en état de manque elle-même, la mère d'un de ses copains ne demande pas mieux que de l'initier aux joies de la copulation. Très vite, notre ancien puceau va se découvrir une vocation de pervers polymorphe ; il n'est aucun jeu scabreux devant lequel il reculera. Bien mieux, voilà que l'écolier va dépasser la maîtresse et faire de cette femme mûre et désirable une " esclave sexuelle ", prête à toutes les turpitudes pour satisfaire son " petit vicieux ". Les rôles vont donc s'inverser et le lecteur averti ne sera pas trop surpris de découvrir que telle est prise qui croyait prendre. Et prise (au pied de la lettre)... de toutes les façons possibles !
Depuis que sa femme l'a plaqué pour une fille, ce patron de restaurant a envie d'en faire baver au sexe faible. Ses nouvelles serveuses n'ont qu'à bien se tenir ! D'autant plus qu'il les héberge chez lui ! Imaginez ce va-et-vient. Ces dames s'amusent entre elles, elles s'amusent toutes seules, et lui... fait le voyeur. Jusqu'au jour où elles finissent par jouer aussi avec lui. Ou plus exactement à le laisser jouer avec elles, car il aime assez la manière forte ! Et voilà que l'infidèle revient, toute repentante... Quel foutoir généralisé ça devient ce restaurant ! Un vrai harem en folie ! Si vous trouvez des poils dans le potage, ne vous étonnez pas. La cuisinière s'épile... ce que vous pensez.
M. Dulasson n'aimait pas les filles effrontées. Il préférait les niaises qui rougissaient à ses propos ambigus. Il était visible qu'il éprouvait une jouissance vicieuse à l'idée de pervertir les oies blanches. Voilà le " chefaillon sadique " que j'ai dû affronter ce jour-là... Le hic (pour lui), c'est que moi, je n'avais rien d'une oie blanche. J'étais pourtant loin de me douter, la première fois que j'ai ôté ma culotte dans son bureau pour lui montrer ce qu'il aimait tant voir... que j'allais me retrouver quelques semaines plus tard en train d'arpenter les rizières chinoises en mission exploratoire... et que c'est surtout moi qui m'y ferais " explorer ". Cela dit, je ne regrette rien ; les voyages forment la jeunesse, dit-on... Mes " formes " en savent quelque chose !
Un jeune commercial est embauché dans une PME où règnent de singulières façons de motiver le personnel ! Dès le pot de bienvenue, Evelyne, la seule femme de l'équipe, une superbe blonde, se glisse sous la table où se tiennent ces messieurs, et " récompense " un représentant qui vient d'emporter un juteux marché ! Après une telle entrée en matière, le nouveau va faire tout son possible pour récolter un maximum de contrats... et de récompenses. Il faut dire qu'Evelyne est une suceuse chevronnée ! Mais elle ne se contente pas de suçoter... Elle se déplace volontiers pour prêter sa main, et le reste, à une négociation difficile. Est-ce bien prudent de tomber amoureux d'une fille aussi singulière ? Elle se donne à tous, mais elle n'est à personne ! Quel est donc le mystère de sa vie ? Si vous tenez à le savoir, ouvrez ce livre et, qui sait... peut-être, pendant votre lecture, se glissera-t-elle sous la table ? Langue de velours n'a pas besoin de parler, dit le dicton, pour se faire comprendre !
Une masse de cheveux blonds, des fesses bien rebondies, des nichons plantureux, une taille de guêpe, et un appétit démesuré pour tous les plaisirs de la chair... Le narrateur de cette confession avait souvent croisé des bimbos, mais il ne les trouvait pas assez intellectuelles. Et surtout, pas très flatteuses à afficher dans les cercles huppés qu'il fréquentait. Mais voilà qu'à la suite d'une déconvenue amoureuse, il se trouve contraint d'en croquer une un soir de solitude, à Deauville. Une vraie caricature : fourrure vinyl au dehors, petite robe bien collante, string très ajusté qu'on ne demande qu'à retirer à la première sommation ! Stupeur quand il découvre que, jusqu'à sa rencontre avec une bimbo, il ne savait pas ce qu'est le sexe dans la bonne humeur et la franche canaillerie. Plus questions d'intellectuelles raffinées, c'est dans les bimbos maintenant qu'il va se vautrer...
En 1975, criblé de dettes, le narrateur accepte, pour échapper à ses créanciers, un emploi de factotum à la résidence S., lieu de villégiature réservé aux membres de l'armée américaine, et à leurs familles, sur la Moyenne-Corniche. Il va vite se rendre compte que ses démons (les fameux démons de la chair) ne l'ont pas lâché pour autant et devenir la proie consentante d'une clientèle féminine avide de sensations. Citons en vrac une veuve nymphomane, une femme de ménage trop élégante pour être honnête, des Lolitas plus vicieuses l'une que l'autre .Il croyait se mettre au vert et qu'avec des Américains il ne risquait pas grand chose. Avec eux, en fait, il ne risquait rien. Mais avec leurs femmes, c'est une autre affaire : " Elles sont pires que les Françaises, mon vieux ; ce qui n'est pas peu dire ! "
Son mari absent, cette MILF adultère fait appel à d'autres pour éteindre son feu !
Les pompiers, comme les policiers, comme les marins, sont souvent absents de chez eux. Que font leurs petites amies, ou leurs épouses, pendant ce temps ? Elles s'ennuient, car elles n'ont rien à faire, or chacun sait que l'oisiveté est la mère de " tous les vices ". Pendant que l'auteur de cette confession, qui est pompier, visite les prisons de femmes, s'amuse avec des infirmières nymphomanes, dépanne des dames qui se sont introduit accidentellement divers objets dans des endroits de leur anatomie que la pudeur m'interdit de nommer, sa femme s'amuse " toute seule " à la maison. Et puis, un jour, voilà que le mari a l'idée de s'amuser avec elle... et avec un autre collègue... à des jeux que la morale réprouve. Du coup, plus personne ne s'ennuie, et surtout pas la femme du pompier...
L'auteur de cette coquine confession se penche sur son passé ; passé assez lointain, car il n'est plus tout jeune, notre ancien garçon coiffeur. Il nous narre dans ce livre, ses toutes premières expériences sexuelles au temps où il était apprenti dans un salon de coiffure pour dames. Seul garçon parmi l'équipe de coiffeuses, il va de venir la proie consentante et ravie de ses collègues de travail, de son abusive patronne... et des clientes désireuses de se faire " coiffer " à domicilie. De quoi vous donner envie de changer de métier...